jeudi 15 juin 2017

Toujours pareil

Je pense à elle, particulièrement la matin au réveil. Depuis que j'ai aperçu ses pieds dans ses chaussures découvertes, mignons, et bien cambrés, je ne pense qu'à les lui lécher. Et je bande en y pensant, et je bande en écrivant ces lignes. Je ne sais pas si quoi que ce soit se passera un jour, si j'aurai la chance de caresser ses seins, de les sucer, de les manger, de lui caresser les fesses. Je ne sais pas si j'aurai la chance, le bonheur de lui faire tout ça. Les occasions de nous voir sont rares et particulières et cela ne dure que peu de temps.


Nous nous parlons, nous nous sourions. Je ne sais pas si je lui plais. Parfois, il me semble. Parfois, je ne sais pas. C'est un doute permanent. Je ne sais pas si faire le premier pas est une bonne idée. Je ne connais rien d'elle, de sa vie. Je ne connais que son nom et le métier qu'elle exerce. Ce n'est pas suffisant et la peur du ridicule est toujours présente. Forcément. Comment être sûr ? On ne l'est jamais vraiment, c'est certain. Alors, disons plutôt : comment avoir un doute favorable ? Comment repérer ces signes qui incitent à aller plus avant, surtout lorsque, comme moi, on a tant de mal à les identifier.

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