vendredi 3 mars 2017

Réflexion

On a, parfois, envie d'écrire des choses et à force d'y penser, à force d'écrire dans sa tête, ce que l'on couche sur le papier s'éloigne de ce que l'on voulait dire en premier lieu. Le naturel n'y est plus.

Donc hier, puisque c'est de cela qu'il s'agit, je me rends dans mon supermarché préféré. J'achète quelques bricoles puis je fais la queue à la caisse. Ce n'est pas une caisse classique, mais une caisse où l'on scanne les produit soi-même. J'attends que mon tour vienne, lorsque je vois arriver une femme. Entre vingt et vingt-cinq ans. Un visage charmant, ravissant. Elle n'est pas très grande. Je la regarde, machinalement. Et ce que je ne peux m'empêcher de remarquer, ce sont ses seins. Elle a des seins comme j'en ai rarement vu, je veux dire, en l'occurrence, deviner. Je reste scotché un bref instant jusqu'au moment où je réalise que je ne peux pas la mater comme ça. Ca va se voir, elle va s'en apercevoir, ça va la mettre mal à l'aise, et moi aussi. Donc, je m'oblige à regarder ailleurs. Mais j'ai du mal. Mon regard tombe à nouveau sur ses magnifiques seins. Ronds comme des melons, des melon juteux que j'imagine chaud et doux.

J'y ai pensé longtemps après. J'y pense encore aujourd'hui. A tel point que j'ai envie d'en parler.





Ces quelques photos en guise d'illustration. Juste pour donner une idée.

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